La première fois que j’ai entendu parler d’Al-Anon, j’étais à l’hôpital. Une travailleuse sociale m’a dit : « Ce n’est pas votre faute, vous n’en êtes pas la cause! » À l’époque, je ne savais pas ce qu’elle voulait dire; j’étais dans un brouillard de douleur intense et j’étais incapable de voir comment je pouvais en sortir. Ses mots m’ont guidée vers ma première réunion Al-Anon.

Par R. R. G., Californie