À présent, vous avez peut-être lu nos deux articles précédents « Soutenir Al‑Anon à l’échelle internationale », première et deuxièmes parties, sur les voyages en Europe de l’Équipe Nord et de l’Équipe Est l’année dernière. Depuis la fin de nos visites en octobre 2022, nous avons régulièrement tenu des réunions avec plus de 40 structures internationales. Cette mise à jour soulignera certaines des initiatives du Bureau des Services Mondiaux (BSM) du point de vue de notre fraternité Al‑Anon mondiale visant à soutenir deux des pays que nous avons eu l’honneur de visiter, soit la Lettonie et les Pays-Bas.

La structure Al‑Anon en Lettonie soutient les réunions locales et le travail de service, et vise à devenir une structure similaire aux Services d’Information Al‑Anon (SIA). Bien que le letton soit la langue première, bon nombre de personnes parlent russe en Lettonie. Cette situation pose des défis uniques pour l’acquisition de la Documentation Approuvée par la Conférence (DAC). Le BSM comprend le besoin urgent de rendre la DAC accessible aux membres du monde entier et travaille sur des solutions plus viables pour garantir qu’elle le sera partout et pour tous les membres. Actuellement, la Lettonie compte environ 20 groupes Al‑Anon. Nous sommes ravis de constater la vague de soutien envers Al-Anon dans ce pays.

Le personnel du BSM s’est également réuni avec les serviteurs de confiance des Pays-Bas à plusieurs reprises depuis octobre dernier. Al‑Anon est présent aux Pays-Bas depuis longtemps et, en plus d’un bureau des SIA, possède un Bureau des Services Généraux (BSG). Comme nous l’avons vu à travers le monde, Al‑Anon aux Pays-Bas se concentre activement sur la rotation des fonctions de service, l’acceptation de groupes électroniques et le déroulement d’activités de communications avec le public efficaces et ciblées pour sensibiliser davantage à la façon dont Al‑Anon peut aider les familles et les amis touchés par la consommation d’alcool d’une autre personne. Les serviteurs de confiance aux Pays-Bas encouragent l’unité au sein de leur structure et travaillent pour qu’Al‑Anon prospère pour les membres là-bas. Les Pays-Bas ont des groupes qui parlent anglais et hollandais.

Restez à l’affût pour la quatrième partie, bientôt disponible!

Le Messager, octobre 2023